Et si votre bonheur n'attendait plus que... "The Show Must Go On" ?
- Morgane POMA
- 19 avr. 2018
- 2 min de lecture
"L'art le plus noble est celui de rendre les autres heureux"
The Greatest Showman, traduit de l'anglais comme "Le Maître du Spectacle" est un film de Michael GRACEY paru en janvier 2018 et inspiré de l'histoire de la création du cirque Barnum .
J'ai adoré cette histoire mêlant l'art au business, le rêve à la réalité, les préjugés à l'ouverture d'esprit, le combat à la réussite, l'ombre à la lumière etc. Et si, tout simplement, cette comédie nous disait "Open your Heart" !
"Le coeur a ses raisons que la raison ignore", c'est exactement ce qu'il se passe pour Phyneas Taylor Barnum (interprété par Hugh Jackman). Phineas, jeune garçon pauvre vivant seul avec son père, tailleur de costume, n'a cessé de voir les hautes classes sociales ridiculiser les pauvres, les gens différents. Cependant, ce jeune garçon se réfugie dans son monde imaginaire et rêve de devenir un jour un homme de la haute société, un homme heureux et reconnu.
Visionnaire, défenseur du droit de la différence, Phineas va entrer dans l'histoire du Show Business en exhibant les talents des marginaux dans le but de faire scandal. Cet homme avait tout compris au mécanisme du showbusiness.
Premier ingrédient : "On ne peut pas faire la différence en faisant comme tout les autres".
Deuxième ingrédient : Convaincre
Troisième ingrédient : la communication, le buzz, l'attractivité des visuels, le bouche à oreilles, la distribution de flyers, les relations presse...
Quatrième ingrédient : Savoir bien s'entourer
Cinquième ingrédient : Instaurer la nouveauté
On retrouve tout ce dont le business d'aujourd'hui regorge.
Un délicieux mélange d'histoire, d'amour, d'imaginaire et d'équité. Le combat d'un homme pour réaliser son rêve et se rendre justice par sa réussite. Un film vecteur de valeurs qui nous en met plein les yeux et les oreilles; même si l'on pourrait penser qu'un tel homme, le grand et véritable Phineas Barnum fasse à la réalité de son succès aurait dénigrer l'humain au profit du business ...
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